« Inca cachi », le « Sel des Incas », salines de Maras, Pérou

Inca cachi

« Inca cachi », le « Sel des Incas », salines de Maras, Pérou

 

Ce qui rend le sel de Maras si particulier c’est que les bassins dans lesquels il est collecté se situe en montagne, à plus de 3300 mètres d’altitude et à une distance de plus de 400 km de la mer.
La présence de sel dans ces bassins est due à l’ingéniosité des peuples pré-incas qui vivaient dans la région.
En effet, il y a plus de 2000 ans, ces derniers ont détourné un ruisseau naturellement saturé en chlorure de sodium, et l’ont amené au moyen de rigoles et de petits canaux à venir se déverser dans des bassins suspendus en terrasses sur les flancs de la montagne Qaqawinay, à 50km environ de Cuzco.
Une fois l’eau piégée dans l’un des 3600 bassins, elle s’évapore laissant le sel prêt à être récolté. Aujourd’hui, bien que le sel n’ai plus la même valeur qu’à l’époque des Incas, durant laquelle il constituait un véritable « Or Blanc », quelques 700 à 800 familles quechuas organisées en coopératives continuent à vivre de sa récolte.

« Inca cachi », le « Sel des Incas », salines de Maras, Pérou

Inca cachi

« Inca cachi », le « Sel des Incas », salines de Maras, Pérou
 

Ce qui rend le sel de Maras si particulier c’est que les bassins dans lesquels il est collecté se situe en montagne, à plus de 3300 mètres d’altitude et à une distance de plus de 400 km de la mer.
La présence de sel dans ces bassins est du à l’ingéniosité des peuples pré-incas qui vivaient dans la région.
En effet, il y a plus de 2000 ans, ces derniers ont détournés un ruisseau naturellement saturé en chlorure de sodium, et l’ont amené aux moyens de rigoles et de petits canaux à venir se déverser dans des bassins suspendus en terrasses sur les flancs de la montagne Qaqawinay, à 50km environ de Cuzco.
Une fois l’eau piégée dans l’un des 3600 bassins, elle s’évapore laissant le sel prêt à être récolté. Aujourd’hui, bien que le sel n’ai plus la même valeur qu’à l’époque des Incas, durant laquelle il constituait un véritable « Or Blanc », quelques 700 à 800 familles quechuas organisées en coopératives continuent à vivre de sa récolte.