Hin donnant le bain à Tombac – Laos

Hin donnant le bain à Tombac - LaosHin donnant le bain à Tombac – Laos

Les Lao Loum (une des 68 ethnies présentes au Laos) entretiennent des relations séculaires avec les éléphants.
Chaque éléphant appartient à un dresseur (Cornac), et cette relation d’exclusivité perdure la majeure partie de leur vie.
Ici le Cornac, Hin donne le bain à Tombac, une femelle éléphant de 35 ans.

Laos, repiquage du riz

Le riz est la 2ème céréale alimentaire la plus produite dans le monde. En 2015, la production mondiale de riz était de 491,5 millions de tonnes (source: fao.org). Cela représente une production de plus de 15 000 tonnes de riz par seconde.

Jeune fille Padaung, Nord de la Thaïlande

Jeune fille Padaung, Nord de la Thaïlande

Les Padaung (ou Kayan) sont une minorité ethnique tibéto-birmane du Myanmar (Birmanie).
En 1990, certains Padaung ont fuit le régime birman et ont traversé la frontière pour s’installer au nord de la Thaïlande. Les femmes Padaung sont connues principalement pour le collier-spirale en laiton qu’elles portent enroulé autour du cou. C’est autour de l’âge de cinq ans que le premier collier est appliqué. Il sera ensuite régulièrement remplacé afin de suivre la croissance de la jeune femme Padaung (contrairement à l’idée, ce n’est pas des anneaux qui sont ajoutés). Cette tradition a fait hériter aux Padaung les surnoms de « femmes girafes » ou encore de « tribu des longs-cous »

Wat Luang, de Pakse, Laos

Le stūpa (thât en laos) du Wat Luang, temple bouddhiste de Pakse, Laos

Le stūpa est une structure architecturale bouddhiste et jaïna. Initialement, un stūpa était un mausolée qui renfermait une relique du Bouddha. Aujourd’hui, rares sont les stupas qui contiennent une relique du Bouddha, ou même un objet lui ayant appartenu. Ils sont néanmoins une représentation aniconique du Bouddha et restent des monuments commémorant sa mort (le parinirvana).

Le terme stūpa n’est pas commun à toutes les langues. En thaï et en laotien on l’appelle « thât », en khmer « chetdei », en mongol « suburghan ». Au sri Lanka on utilise le terme «  dâgoba » pour désigner cet édifice.

Réunion au sommet chez les éleveurs Mongols

Réunion haute en couleur pour un débat sensible

Cette photo a été réalisée en 2015 à Oulan-Bator, capitale de la Mongolie

Les grands propriétaires de bétail, venus des quatre coin du pays, se réunissaient une fois de plus pour discuter des conséquences du dernier « dzud blanc» qui venait de frapper la Mongolie. Un « dzud » est un phénomène climatique, (parfois sécheresse en été, parfois hiver glacial, parfois une combinaison des deux) qui conduit à la mort de nombreuses têtes de bétails. Ces dernières années les « Dzud » se succèdent. Les pertes annuelles se comptent en millions d’animaux.

Mihintale, Sri Lanka

Mihintale est un site du nord du Sri Lanka, près d’Anurâdhapura. Ce site est un lieu de pèlerinage car il aurait été le lieu de rencontre entre Devanampiya Tissa et les émissaires d’Ashoka (Mahinda et Sanghamita) qui auraient importé le bouddhisme dans l’île.

Cascade de Ravana – Sri Lanka

Cascade de Ravana – Sri Lanka

Cette cascade mesure approximativement 25m de hauteur et est l’une des plus large du pays. Son nom lui vient du légendaire roi Ravana, l’un des illustres personnages du récit épique indien, le Ramayana. Selon le Ramayana, Ravana (qui à l’époque était le roi de l’actuel Sri-Lanka) a kidnappé Sita, la femme de Rama. Il s’agissait d’un acte de vengeance envers Rama, car ce dernier, aidé par son frère Lakshmana aurait coupé le nez de Shurpanakha, la sœur de Ravana. Ravana kidnappe donc la princesse Sita et la dissimule dans la grotte située derrière la cascade. A cette époque, le lieu était entouré d’une forêt épaisse et sauvage.
Rama engagea une recherche longue et difficile pour retrouver sa femme, et finalement une guerre éclata entre ses armées et celles de Ravana. Les combats, d’une ampleur inimaginable mêlaient magie et destruction. Finalement, Rama exécuta Ravana sur le champ de bataille et put libérer sa femme, Sita.
Le bassin situé au bas de la cascade servait également de lieu de baignade à Sita, ce qui lui confère aujourd’hui un statut mythique.

Eglise de Yemrehana Krestos, Région Amhara, Ethiopie

Eglise de Yemrehana Krestos, Région Amhara, Ethiopie

Yemrehanna Krestos est une église éthiopienne orthodoxe construite à l’intérieur d’une grotte, au pied de l’Abouna Yossef, une montagne culminant à 4190 m. Elle tire son nom du roi Yemrehanna Krestos de la dynastie Zagoué qui règna au XII ème siècle de notre ère, et qui en ordonna la construction